514-343-7635
Jean-Robert Derome préside la rencontre; une quinzaine de membres de l’APRUM sont présents.
JRD rappelle une fois de plus qu’une façon simple d’éviter les erreurs de lecture des documents joints est de les enregistrer sous le format RTF au moment de l’envoi (ce qu’il faut répéter régulièrement car les étourdis sont nombreux…). Malheureusement pas de commande par défaut. Ne s’applique que pour les textes.
Une question porte sur la possibilité d’incorporer une photo dans un texte; démonstration convaincante sur place. Simple!
Thème de la rencontre : la construction d’un site webb
NB Le plan détaillé de l’exposé se trouve sur le site de l’APRUM; les notes ci-dessous complètent le plan, au besoin.
Une des utilités les plus évidentes du site webb est la constitution
d’un album de photos : voyage, famille, souvenirs… La messagerie
n’est pas la bonne façon de transmettre ces documents souvent
très lourds et que les serveurs rechignent à recevoir et à véhiculer.
Surcharge du réseau et de la boîte de réception. Problème
aggravé par la basse vitesse que certains ont encore par choix ou par
obligation : la haute vitesse n’est pas accessible dans tous les
coins du Québec profond. Au surplus, tout n’a pas le même
intérêt pour le réceptionnaire; le site webb permet de
se concentrer sur ce qui a le plus grand intérêt, au moment où on
veut le consulter.
Le site sert également à faire des sauvegardes à bon compte.
Il existe d’autres solutions, bien sûr.
Le site peut aussi servir à parler de sa ménagerie… « t…chatter »
Utilisation d’un site FTP; file transfer protocol.
Solutions simples et gratuites, mais dont les limites sont rapidement atteintes,
surtout avec les appareils photos à 10 mgpx +++. Blogger, Picasa,
i.web.
La dépendance à l’égard d’un fournisseur peut-être gênante; s’il y a un changement, on peut se trouver dans l’obligation de changer son système au complet…
Si on veut être vraiment indépendant, il faut penser aux solutions plus complexes; elles peuvent être relativement coûteuses, plus complexes à manipuler mais les possibilités de stockage et la souplesse sont impressionnantes et quasi illimitées. Dreamweaver, Frontpage, NVU de Mozilla. Le résultat est plus professionnel et plus satisfaisant.
On peut demander à un professionnel de faire le travail; pour un site simple, il faut compter 100 à 200$.
Il faut se choisir un nom qui devrait être enregistré et renouvelé si on ne veut pas être obligé de « racheter » son nom de domaine. Il faut « magasiner ». Idem pour le choix d’un hébergeur. De plus en plus de grandes compagnies offrent des services d’hébergement : Google, Videotron, Sympatico… mais la quantité de mg autorisée ne semble pas suffisante.
Il faut transmettre son nom à l’hébergeur qui vous assigne
un fichier; page d’accueil transmise à l’hébergeur
de même que les autres pages au fur et à mesure de leur création.
Quand on consulte le webb le site ressort.
Plusieurs personnes peuvent travailler sur un site en même temps. Il
y a des signaux qui indiquent si qqn travaille également sur le site.
Le nom de domaine umontreal.ca est protégé et le droit de se constituer en sous-domaine demeure sous le contrôle de l’UdeM. Par exemple, il a fallu obtenir l’autorisation pour que le site de l’APRUM soit sous le « parapluie » de l’UdeM. Il va de soi que l’autorisation n’a pas fait de problème. On se demande si les SR (Simples Retraités) peuvent devenir des sous-domaines de l’umontreal,ca; il semble que non.
Il faut prendre des mesures pour se protéger.